Toute une bande de comploteurs qui à court, ou plutôt ne possède pas, d’arguments pour déstabiliser le régime en place, se verse dans une pratique honteuse dans l’unique but de maintenir en « mauvaise » haleine ses partisans. Elle fait fi de la sagesse malagasy « Aleo mifanena amin’ny mpamosavy toy izay mifanena amin’ny mpandainga » (litt : Il vaut mieux rencontrer une sorcière qu’un menteur).
La dernière fausse information démentie a trait au trafic d’or, assorti d’un trafic de devises, perpétré par des trafiquants malagasy arrêtés en Afrique du Sud. Quelques jours après la découverte de ce double trafic rapporté par la presse malagasy, l’Opposition et ses sbires sont allés dans leurs mensonges habituels en annonçant leur scoop. La Dame exilée en France ravie d’une telle manne s’est donnée à cœur joie en le balançant sur les réseaux sociaux. La bande affirme que des millions d’euros ont été surpris sur les trafiquants en Afrique du Sud en plus des 73,5kg d’or. Elle est allée même jusqu’à désigner d’où est sortie cette somme.
Une affirmation infirmée pourtant vendredi dernier durant le procès intenté contre l’Etat Sud-Africain par les trafiquants malagasy et la société de Dubaï. Dans le compte rendu de l’audience, il a été en effet mentionné la découverte de 20 000$ sur les passagers venant de Madagascar. Un montant très loin des millions d’euros annoncés comme scoop par l’opposition qui, encore une fois, a mis un sacré coup sur sa crédibilité.
Ce n’était pas la première fois qu’elle a été surprise en flagrant délit de mensonges. Un de ses ténors, qui jusqu’à maintenant n’ose pas honorer la convocation de la Gendarmerie, a quelques jours auparavant balancé sur les ondes que le plan d’émergence de Madagascar (PEM) est financé par le groupe terroriste d’Al Qaïda. Une affabulation à l’instar de la fuite du Premier ministre Ntsay Christian, de la « démission » des autorités militaires et tant d’autres que l’Opposition tente de faire avaler à la population. Mais cette dernière commence à découvrir les mensonges des dirigeants de l’opposition mettant en cause le peu de crédibilité qu’ils en possédaient.
La rédaction